Une source officielle au ministère des Affaires étrangères a déclaré aujourd'hui que depuis la révolution iranienne en 1979, l'Iran a établi un record en répandant la sédition, les troubles et le chaos dans la région pour saper sa sécurité et sa stabilité, et au mépris du droit international, des accords, traités et principes moraux. Durant la même période, le Royaume d'Arabie Saoudite a maintenu une politique de retenue en dépit de sa souffrance continue ainsi que les pays voisins et le monde des politiques agressives de l'Iran.
La source a ajouté que la politique iranienne est basée principalement sur le préambule de la constitution iranienne et l'instruction de Khomeiny sur laquelle reposait la politique extérieure de l'Iran et qui est le principe de l'exportation de la révolution, en violation flagrante de la souveraineté des Etats et de l'ingérence dans leurs affaires intérieures, sous le nom de 'soutien des peuples vulnérables et subjugués' pour qu'il recrute des milices en Irak, au Liban, en Syrie et au Yémen et son soutien continu du terrorisme en lui fournissant des refuges sécurisés sur son territoire, en implantant des cellules terroristes dans un certain nombre de pays arabes, et d'aider dans des attentats terroristes qui ont causé la perte de nombreuses vies innocentes, d'assassiner les opposants à l'étrange, ainsi que sa violation constante des missions diplomatiques, et même de chasser des diplomates à travers le monde pour les assassiner ou tenter de le faire.
Le ministère des Affaires étrangères a préparé la fiche d'information ci-jointe pour illustrer la politique agressive de l'Iran pendant près de quatre décennies, et réfute catégoriquement les mensonges persistants promues par le régime de Téhéran, y compris l'article de son ministre des Affaires étrangères dans le New York Times et son message au secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies.
Fiche d'information du régime iranien dans le soutien terrorisme et l'extrémisme dans la région et le monde
Le régime iranien est l'Etat numéro un en tant que parrain et soutenant du terrorisme dans le monde où il a crée de nombreuses organisations terroristes chiites à l'intérieur (la Force Al Qods et autres) et à l'étranger, comme le Hezbollah au Liban, le Hezbollah Al-Hijaz Asaïb Ahl al-Haq en Irak, et bien d'autres et plusieurs milices sectaires dans un certain nombre de pays, y compris les Houthis au Yémen. Ils ont été condamnés par l'Organisation des Nations Unies et des sanctions internationales ont été imposées sur elles . L'Iran a soutenu et conspiré avec d'autres organisations terroristes, comme Al-Qaïda. L'Iran a abrité les dirigeants d'Al-Qaïda, dont certaines se trouvent encore sur son sol.
En 1982, 96 étrangers ont été enlevés au Liban, dont 25 Américains, dans ce qui est connu comme 'la crise des otages', qui a duré 10 ans. La plupart des enlèvements ont été effectués par le Hezbollah et d'autres groupes soutenus par l'Iran.
En 1983, l'ambassade américaine à Beyrouth a été bombardée par le Hezbollah dans une opération planifiée par le régime iranien, et qui a causé la mort de 63 personnes dans l'ambassade.
En 1983, 'Ismail Al-Askri' de nationalité iranienne et qui appartient aux Gardiens de la Révolution, a perpétré un attentat suicide à Beyrouth orchestré par l'Iran, et ce au quartier général des Marines américains, ce qui a entraîné la mort de 241 plus de 100 blessés du personnel de la Marine et les Américains civiles ; la presse américaine l'a décrit comme étant l'endroit où étaient tués beaucoup plus à l'extérieur du champ de bataille.
En 1983, le quartier général des forces françaises à Beyrouth a été bombardé par le Hezbollah, en liaison avec l'attentat contre le quartier général des forces américaines, ce qui a entraîné la mort de 64 civils et militaires français.
En 1983, des éléments du Hezbollah et du parti chiite Dawa, soutenu par l'Iran ont mené une série d'attaques contre l'ambassade des Etats-Unis et de l'ambassade française au Koweït, la raffinerie de pétrole et un quartier résidentiel et qui ont entraîné la mort de 5 et de 8 blessés.
En l'an 1983, bombardement des pétroliers koweïtiens dans le Gofe, ce qui a obligé les camion-citernes de lever le drapeau américain.
En 1984, Hezbollah a attaqué un annexe de l'ambassade américaine à Beyrouth-Est, entraînant la mort de 24, y compris des américains.
En 1985, tentative d'attentat de son altesse Cheikh Jaber Al-Ahmed Al-Sabah, Emir du Koweït qui a causé la mort des soldats et blessés du Golfe.
En 1985, le régime iranien a orchestré l'enlèvement d'un avion de lignes (TWA) et la détention de 39 passagers américains à bord pendant des semaines et l'un des membres de l'US Navy tué.
En 1986, l'Iran a été l'instigateur des émeutes de la part des pèlerins dans la saison du pèlerinage, ce qui a entraîné une ruée des pèlerins et la mort de 300 personnes.
En 1987, un atelier au complexe de pétrole à Ras Tanoura à l'est du Royaume d'Arabie Saoudite a été incendié par des éléments du 'Hezbollah Al-Hijaz', soutenu par du régime iranien, et dans la même année des éléments du 'Hezbollah Al-Hijaz' ont attaqué la société 'Sadaf' à la cité industrielle de Joubail à l'est du Royaume de l'Arabie Saoudite.
En 1987, l'implication du régime iranien dans l'assassinat du diplomate saoudien à Téhéran, Mussaïd Al-Ghamdi, et c'est dans la même année qu'on a arrêté la tentative de l'Iran de contrebande d'explosifs avec des pèlerins .
En 1987, un attaque a visé aussi le consul saoudien à Téhéran, Mohsen AbdelMohsen Al-Nozha, qui a été arrêté par les forces de la garde révolutionnaire iranienne et puis libéré après des négociations entre le Royaume d'Arabie saoudite et l'Iran.
- Enlèvement et assassinat d'un certain nombre de diplomates américains au Liban dans les années quatre-vingt.
- L'Iran a été impliquée dans une série d'assassinats de l'opposition iranienne. En l'an 1989, il a assassiné à Vienne le chef du Parti démocratique du Kurdistan, Rahman Ghassemlou et de son adjoint Abdallah Azar, et à Paris en 1991, l'assassinat par la Garde révolutionnaire iranienne de Chapour Bakhtiar, le dernier premier ministre de l'Iran sous le Shah, tuant ainsi un homme de sécurité français et une dame française, et à Berlin en 1992, l'iran a assassiné le Secrétaire général du Parti démocratique du Kurdistan d'Iran, Sadok Sharafkandi et trois de ses collaborateurs, 'Fattah Abdouli, Homayoun Ardalan, Nouri Dekhardi'.
En 1989, le régime iranien a enlevé et tué un certain nombre de diplomates américains au Liban.
Durant la période 1989 -1990, l'implication du régime iranien dans l'assassinat de quatre diplomates saoudiens en Thaïlande, à savoir Abdallah Al-Maliki, Abdallah Al-Bousaïre, Fahd Al-Bahili, et Ahmed Al-Sif.
En1992, l'implication du régime iranien dans le bombardement du restaurant Mykonos à Berlin, où le Procureur fédéral allemand a émis un mandat d'arrêt contre le ministre de renseignement de l'Iran, Ali Fallahian, accusé de planifier et superviser l'explosion du restaurant et causé la mort de 4 dissidents kurdes qui étaient dans le restaurant au moment de l'attentat.
En 1994, l'implication de l'Iran dans les attentats de Buenos Aires, ce qui a entraîné la mort de plus de 85 personnes et en blessant environ 300 autres, et en 2003, la police britannique a arrêté Hadi Bour, l'ancien ambassadeur iranien en Argentine sur des accusations de complot en vue de commettre l'attentat.
En 1994, les Affaires étrangères vénézuéliens ont publié un communiqué de presse indiquant l'implication de quatre diplomates iraniens directement dans les événements dangereux qui ont eu lieu à l'aéroport international Simon Bolivar de Caracas, qui visaient à forcer les réfugiés iraniens de retourner à leur pays d'origine.
22- En 1996, des tours résidentielles à Al-Khobar ont été dynamitées par le soi-disant «Hezbollah du Hijaz» inféodé au régime iranien, ce qui a entraîné la mort de 120 personnes, dont 19 ayant la citoyenneté américaine. Le régime iranien a fourni de la protection aux auteurs de cet attentat, dont le citoyen saoudien Ahmed Almagsal qui a été arrêté en 2015, avec un passeport iranien. L'attentat été supervisé par l'attaché militaire iranien au Bahreïn à l'époque. La formation des auteurs du crime a été faite à la fois au Liban et en Iran, les explosifs ayant été acheminés du Liban au Royaume par le Hezbollah par voie de contrebande. Les preuves de cette affaire sont entre les mains du gouvernement saoudien et des gouvernements de nombre de pays amis.
23. L'Iran a fourni refuge sur son territoire à nombre de dirigeants d'Al-Qaïda depuis 2001, dont Saad ben Laden , Saif al-Adel et d'autres après les attentats du 11 septembre, et a refusé de les extrader à leurs pays en dépit des revendications persistantes.
24. En 2003, le régime iranien a été impliqué dans les attentats de Riyad sur ordre de l'un des chefs d'Al-Qaïda en Iran, ce qui a causé le décès de nombreux citoyens saoudiens et résidents étrangers, dont des Américains.
25. En 2003, a été déjoué un complot terroriste soutenu par l'Iran pour commettre des attentats dans le Royaume de Bahreïn, et il a été procédé à l'arrestation des éléments d'une nouvelle cellule terroriste recevant le soutien de la Garde révolutionnaire iranienne et du Hezbollah, ce qui s'est passé également au Koweït et aux Emirats arabes Unis, à différentes époques.
26. En 2003, le régime iranien a soutenu des éléments chiites en Irak et a oeuvré à la formation de partis et de groupes loyaux politiques, ce qui a conduit à l'assassinat de (4400) soldats américains et des dizaines de milliers de civils, en particulier des Arabes sunnites.
L'ancien ambassadeur en Irak, James Jeffrey indique que les morts américains ont été tués par les groupes soutenus directement par l'Iran.
27. En 2006, Washington a déclaré que l'Iran a soutenu les talibans contre les forces américaines en Afghanistan et qu'il essaie de frapper la présence américaine à ses frontières et a armé des groupes ethniques et sectaires, et que le régime iranien a alloué mille dollars de récompense pour chaque soldat américain tué en Afghanistan.
28. En 2007, le Sénat américain a adopté une résolution qualifiant la Garde révolutionnaire iranienne d'organisation terroriste.
29. En 2011, le régime iranien a été impliqué dans l'assassinat du diplomate saoudien Al-Qahtani Hassan dans la ville de Karachi.
30. En 2011 les Etats-Unis ont déjoué l'assassinat de l'ambassadeur saoudien et l'implication du régime iranien dans cette tentative a été prouvée, la plainte pénale de la Cour fédérale à New York a identifié deux noms de ceux qui sont impliqués dans le complot et qui sont Mansour Arbabsiar qui a été arrêté et condamné à 25 ans de prison et l'autre, Gholam Shakuri, un officier de la Garde révolutionnaire iranienne est acutuellement en Iran, et il est recherché par la justice américaine.
31. En Octobre 2012, des pirates iraniens inféodés aux Gardiens de la Révolution iraniens ont commis des attaques électroniques contre les compagnies de pétrole et de gaz en Arabie saoudite et dans le Golfe. Le Secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, a décrit ces cyber-attaques comme étant parmi les cyber-attaques les plus destructrices dans le secteur privé. L'administration du président Obama a dit qu'il est conscient que ceci est l'œuvre du gouvernement iranien.
32. En 2012 a été détecté un complot visant à assassiner des fonctionnaires et des diplomates américains dans la capitale azérie, Bacou, fomenté par un groupe chiite en Azerbaïdjan soutenu par l'Iran et qui travaille sous les ordres des gardiens de la révolution.
33. En 2016, le tribunal pénal koweïtien a condamné à mort deux membres de la cellule dite d'Abdali dont l'un de nationalité iranienne, a été accusé d'avoir commis des actes qui portent atteinte à l'unité et l'intégrité territoriale du Koweït et de collaborer avec l'Iran et le Hezbollah pour perpétrer des actes d'hostilité.
34. En Janvier 2016, l'Iran a officiellement reconnu selon le commandant de la garde révolutionnaires iranien Mohammad Ali Jafari, la présence de 200 mille iraniens en dehors de leur pays en (Syrie, Irak, Afghanistan, Pakistan et Yémen).
35. Les missions diplomatiques iraniennes ont formé des réseaux d'espionnage dans différents pays à travers lesquels se font la mise en œuvre des plans et des opérations terroristes. Parmi les Etats qui ont découvert l'existence de réseaux d'espionnage d'Iran sur leurs territoires, on dénombre: le Royaume (2013), le Koweït (2010, 2015), le Bahreïn (2010, 2011), le Kenya (2015), l'Egypte (2005, 2008, 2011), la Jordanie (2015), le Yémen (2012), les EAU (2013), la Turquie (2012), et le Nigeria en (2015 ).
36. En plus du Hezbollah au Liban, décrit par le vice-Secrétaire d'Etat américain (Richard Armitage) comme étant la première organisation terroriste dans le monde, le régime iranien a formé de nombreuses cellules et milices terroristes en Irak, le Yémen et d'autres pays, utilisées pour déstabiliser la sécurité et la stabilité de ces pays.
37. Le régime iranien est responsable de l'introduction d'éléments de la Garde révolutionnaire en Irak pour former et organiser des milices chiites, et les utiliser pour tuer les irakiens de la communauté sunnite, et les forces internationales.
38. Le régime iranien est le plus grand distributeur au monde d'explosifs utilisés pour faire des voitures piégées, ce qui a causé la mort de centaines d'éléments des forces internationales en Irak.
39. Le régime iranien est le premier responsable des violations contre les missions diplomatiques depuis la prise de l'ambassade des Etats-Unis en 1979 et la détention de ses employés, pendant 444 jours, suivie par l'attaque contre l'ambassade d'Arabie Saoudite en 1987, l'attaque contre l'ambassade du Koweït en 1987, l'attaque contre l'ambassade de Russie en 1988, l'attaque contre l'ambassade koweïtien en 2007, l'attaque contre l'ambassade du Pakistan en 2009, l'attaque contre l'ambassade britannique en 2011, et la plus récente attaque contre l'ambassade du Royaume d'Arabie Saoudite et son consulat à Mashhad en 2016.
40. Le régime iranien n'a pas fourni de protection à la mission diplomatique Saoudite comme il le prétend, malgré les appels répétés, mais les agents de sécurité ont pénétré dans les locaux de la mission et commis le pillage de ses biens.
41. Le Royaume n'était pas le premier pays à couper ses liens avec le régime iranien, mais les Etats-Unis l'ont précédé, ainsi que le Royaume-Uni pour la violation de leurs ambassades. De même de nombreux pays ont rompu leurs relations avec le régime iranien suite à ses agressions dont le Canada et certains pays européens, en plus de l'Algérie, la Tunisie, l'Egypte, le Maroc, le Yémen, et à présent le Bahreïn, le Soudan, la Somalie, Djibouti; et les Comores, qui ont coupé leurs liens avec le régime iranien ainsi que nombre d'autres pays ayant convoqué les ambassadeurs du régime iranien pour les mêmes raisons liées aux interventions iraniennes dans leurs affaires, et son parrainage du terrorisme.
42. Au moment où le Royaume a été la cible d'attaques terroristes d'al-Qaïda et de Daash, le régime iranien pas été exposé à aucune de ces actes de terrorisme, que ce soit de la part d'al-Qaïda ou Daash, ce qui confirme les doutes sur le parrainage par ce régime du terrorisme et des terroristes.
43. La région Arabe n'a connu le sectarisme qu'après la révolution iranienne en 1979. Le régime iranien s'est immiscé dans les affaires du Liban, Syrie, Irak et Yémen, au point que l'un de ses agents et ancien ministre du Renseignement iranien Heidar Moslehi s'est targué que l'Iran occupe quatre capitales arabes.
44. Le régime iranien a abusé de beaucoup de citoyens du Conseil de coopération des Etats arabes du Golfe, exploitant leurs sentiments religieux. Il les a emmenés en Iran à travers des moyens illégaux en voyageant sans visa par un pays tiers, afin de ne pas être découverts, et leur a demandé de partir en bateau dans les eaux internationales, puis de prétendre qu'ils ont été enlevés. Auparavant il les a faits passer par des centres de formation sur les armes et les actes terroristes et les a ramenés enfin chez eux pour commettre des actes terroristes contre leurs familles et leurs pays.
45. Le plus grand exemple de l'ingérence de l'Iran dans les affaires des pays de la région est l'ingérence flagrante en Syrie par le biais des Gardiens de la Révolution, de la Force Al-Qods, et le recrutement de milices sectaires du Hezbollah, et de nombre de pays, pour combattre à côté de Bachar al-Assad contre son peuple, ce qui a entraîné la mort de plus d'un quart de million de citoyens syriens, et le déplacement d'environ 12 millions d'entre eux, dans la plus grande tragédie qui se déroule dans notre histoire contemporaine.
46. L'ingérence iranienne dans les affaires arabes de la région, n'a pas été rejetée par la seule Arabie Saoudite, mais a été rejetée par la Ligue arabe dans toutes ses décisions, dont la plus récente est la décision du Conseil ministériel lors de sa dernière réunion tenue le dimanche 10/01/2016.
47. L' Iran a prétendu que son ambassade au Yémen a été bombardée, ce qui a été démenti par les faits documentés de photos.
48. L'Iran a imputé de fausses déclarations contre les chiites à l'un des imams du Haram, or ceci est réfuté par les discours audio et vidéo de tous les imams du sanctuaire.
49. Nilmr Al-Nimr décrit par le régime iranien comme étant un activiste politique pacifique, a été reconnu coupable de terrorisme, ainsi que 46 autres terroristes, et il a été prouvé qu'il a formé une cellule terroriste, pour le recrutement, la planification, l'armement, l'exécution d'actes terroristes ayant entraîné la mort de nombre de personnes innocentes, de tirs contre les agents de sécurité et d'aide aux suspects recherchés à fuir et à se cacher.
50.Le régime iranien est reconnu coupable par la communauté internationale et les Nations Unies en raison de la violation des droits humains, et du soutien au terrorisme, ce qui a été confirmé par l'Assemblée générale dans le rapport n°70/411 en date du 10/06/2015.
51. Selon les Rapports internationaux, les exécutions en Iran dépassent les mille exécutions au cours de 2015, soit en moyenne trois exécutions par jour. Le rythme de ces exécutions a augmenté au cours des sept premiers mois de 2015, alors que la Cour suprême iranien a ratifié les condamnations à mort de 27 érudits religieux sunnites, sans qu'aucun motif ne justifie ces condamnations.
52. L'Iran viole les droits des minorités, Arabes d'Ahwaz, Kurdes, Baloutches et autres ethnies et croyances, et les empêche d'exercer leurs droits.
53. L'Iran viole la Résolution du Conseil des Nations unies 2216 au Yémen, en continuant à fournir des armes aux milices armées Houthi, comme en témoignent les navires qui ont été arraisonnés sur leur chemin vers le Yémen avec des armes, des munitions et des roquettes.
54. Le régime iranien prétend protéger ses agents mais n'hésite pas à les liquider s'ils sont découverts comme ce fut le cas avec l'un des participants aux attentats d'Al Khobar.
55. Les allégations du ministre des Affaires étrangères de l'Iran prétendant que le royaume est opposé à l'accord nucléaire confirment le mensonge du régime, le Royaume ayant annoncé son soutien à tout accord empêchant l'Iran d'acquérir l'arme nucléaire, avec un mécanisme d'inspection fort et durable, et la possibilité de nouvelles sanctions en cas de violation par l'Iran de cette Convention, ce qui a été affirmé aussi par les Etats-Unis.
56. L'Iran devra déterminer s'il est une révolution vivant un état de chaos et qui bafoue les lois internationales, ou un Etat qui respecte les accords et traités internationaux, et les principes de bon voisinage et de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats.
57. Le Royaume d'Arabie Saoudite a essayé depuis le début de la révolution iranienne, de tendre la main à l'Iran pour la paix, l'harmonie et la coexistence pacifique et pour de relations de bon voisinage, mais l'Iran a répondu en diffusant le sectarisme, la haine, et les appels à l'assassinat et à la destruction.
58. Si l'Iran veut suivre le langage de la raison et de la logique, il doit d'abord débuter le premier et cesser tout acte perturbateur et destructeur des principes et conventions internationales.